Festival du film français | L'Odeur de la mandarine
Festival du film français | L'Odeur de la mandarine
Gilles Legrand
2014 / France
110 min / français
Sous-titres anglais, tchèque
Avec
Olivier Gourmet, Dimitri Storoge, Hélène Vincent, Marine Vallée, Fred Ulysse
« Ce film du réalisateur Gilles Legrand se déroule à la fin de la première guerre mondiale – nous sommes en été 1918 dans un petit domaine en Picardie. Son propriétaire Charles, la quarantaine passée, est un officier de la cavalerie (Olivier Gourmet). Ayant perdu la jambe au combat, il emploie une jeune infirmière Angèle (Georgia Scalliet) qui vient s’installer chez lui avec sa fille. Le père de la fillette est mort sur le front et Angèle est confrontée aux sérieux problèmes de subsistance et doit trouver un emploi. Charles, jusque-là entouré de serviteurs vieillissants, tombe sous le charme de son énergie rayonnante. Ils jouent au billard, partagent le même sens de l’humour et très vite se lient d’amitié. Charles propose à Angèle de l’épouser. Elle hésite, ne l’aimant pas, mais veut tenter cette alliance de raison. Malgré les décors historiques, le film relate avec beaucoup de modernité et sincérité le réveil sentimental et sexuel de la jeune femme, son émancipation. Avec une empathie naturelle, il ne craint pas les envolées lyriques et situations mélodramatiques qui, parfois, peuvent avoir un effet provocateur. Des scènes symboliques qui montrent le rapport entre Angèle et son cheval lors de ses escapades furieuses dans la nature sont rendues avec une forte animalité voire une mystique érotique. La jeune et talentueuse Georgia Scalliet est d’ailleurs la vraie découverte de ce film hors du commun. )]
2014 / France
110 min / français
Sous-titres anglais, tchèque
Avec
Olivier Gourmet, Dimitri Storoge, Hélène Vincent, Marine Vallée, Fred Ulysse
Film vybrala Jana Machalická, Lidové noviny / Film choisi par Jana Machalická, Lidové noviny
Eté 1918. La guerre fait rage pour quelques mois encore, mais pour Charles et Angèle, elle est déjà finie. Lui, officier de cavalerie y a laissé une jambe. Elle, son infirmière à domicile, vient de perdre au front son grand amour, le père de sa petite fille.
Unis par le besoin de se reconstruire, ils nouent une complicité joyeuse qui les ramène à la vie. Sur l'insistance de Charles, Angèle accepte un mariage de raison. Il leur faudra entrer en guerre, contre eux-mêmes et contre l'autre avant d'accepter l'évidence de la passion qui les lie malgré eux…
« Ce film du réalisateur Gilles Legrand se déroule à la fin de la première guerre mondiale – nous sommes en été 1918 dans un petit domaine en Picardie. Son propriétaire Charles, la quarantaine passée, est un officier de la cavalerie (Olivier Gourmet). Ayant perdu la jambe au combat, il emploie une jeune infirmière Angèle (Georgia Scalliet) qui vient s’installer chez lui avec sa fille. Le père de la fillette est mort sur le front et Angèle est confrontée aux sérieux problèmes de subsistance et doit trouver un emploi. Charles, jusque-là entouré de serviteurs vieillissants, tombe sous le charme de son énergie rayonnante. Ils jouent au billard, partagent le même sens de l’humour et très vite se lient d’amitié. Charles propose à Angèle de l’épouser. Elle hésite, ne l’aimant pas, mais veut tenter cette alliance de raison. Malgré les décors historiques, le film relate avec beaucoup de modernité et sincérité le réveil sentimental et sexuel de la jeune femme, son émancipation. Avec une empathie naturelle, il ne craint pas les envolées lyriques et situations mélodramatiques qui, parfois, peuvent avoir un effet provocateur. Des scènes symboliques qui montrent le rapport entre Angèle et son cheval lors de ses escapades furieuses dans la nature sont rendues avec une forte animalité voire une mystique érotique. La jeune et talentueuse Georgia Scalliet est d’ailleurs la vraie découverte de ce film hors du commun. )]
