Shashamane
(Italie, 2016, 50 min)De Giulie Amati
Première tchèque du documentaire de la réalisatrice Giulia Amati suivie d’un débat.
La ville éthiopienne de Shashamane ne correspond pas vraiment à l’image de l’Afrique d’aujourd’hui frappée par la crise de l’émigration. Depuis quelques décennies elle accueille des centaines d’hommes et femmes aux racines africaines, principalement des rastas nés en Jamaïque, aux USA, en France ou en Grande Bretagne. Il n’y a qu’ici qu’ils trouvent une réelle identité africaine et troquent la relative prospérité occidentale contre la vie dans le pays de leurs ancêtres. Ou plus précisément « la terre promise », comme dans la chanson Exodus de Bob Marley, qui a visité et soutenu financièrement cette communauté. Ce documentaire captivant approche d’une manière intéressante les moments clé de la vaste histoire de la diaspora africaine mais également les défis que les membres de cette communauté doivent surmonter dans le cadre de son développement durable.
Le film sera suivi d’un débat organisé par l’Institut des relations internationales.
Les médias tchèques décrivent généralement l’Afrique comme un continent d’émigration massive, ayant un impact négatif sur l’Europe. Le film Shashamane décrit le phénomène contraire – l’Afrique, plus concrètement l’Éthiopie en tant que terre d’immigration. Et il ne s’agît pas d’un cas isolé. L’objectif du débat est d’examiner en toute impartialité la question des migrations depuis et vers l’Afrique sur le même plan, et d’évaluer ses impacts moins soulignés, l’accent étant mis sur la diaspora des Européens en Afrique et des Africains en Europe. Le débat accueillera un Africain et des Européennes. Dans le cadre des Journées de l’Afrique, l’accent est mis sur le fait, qu’il ne faut pas représenter l’Afrique comme un sujet des politiques, et uniquement du point de vue européen.
Les intervenants
Alemayehu Kumsa : de la Faculté des sciences humaines de l’Université Charles ;
Linda Piknerová : de la Faculté des lettres de l’Université de Bohême occidentale à Pilsen ;
Tereza Němečková : du Département du commerce international de l’Université métropolitaine de Prague
Animé par : Linda Flanderová, de l’Institut des relations internationales.
Organisé par l’Agence tchèque du développement, en collaboration avec le festival Afrique en création ou Nous sommes tous africains, l’Institut français de Prague et l’Institut des relations internationales.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
www.tvurci-afrika.simplesite.com
La ville éthiopienne de Shashamane ne correspond pas vraiment à l’image de l’Afrique d’aujourd’hui frappée par la crise de l’émigration. Depuis quelques décennies elle accueille des centaines d’hommes et femmes aux racines africaines, principalement des rastas nés en Jamaïque, aux USA, en France ou en Grande Bretagne. Il n’y a qu’ici qu’ils trouvent une réelle identité africaine et troquent la relative prospérité occidentale contre la vie dans le pays de leurs ancêtres. Ou plus précisément « la terre promise », comme dans la chanson Exodus de Bob Marley, qui a visité et soutenu financièrement cette communauté. Ce documentaire captivant approche d’une manière intéressante les moments clé de la vaste histoire de la diaspora africaine mais également les défis que les membres de cette communauté doivent surmonter dans le cadre de son développement durable.
Le film sera suivi d’un débat organisé par l’Institut des relations internationales.
Les médias tchèques décrivent généralement l’Afrique comme un continent d’émigration massive, ayant un impact négatif sur l’Europe. Le film Shashamane décrit le phénomène contraire – l’Afrique, plus concrètement l’Éthiopie en tant que terre d’immigration. Et il ne s’agît pas d’un cas isolé. L’objectif du débat est d’examiner en toute impartialité la question des migrations depuis et vers l’Afrique sur le même plan, et d’évaluer ses impacts moins soulignés, l’accent étant mis sur la diaspora des Européens en Afrique et des Africains en Europe. Le débat accueillera un Africain et des Européennes. Dans le cadre des Journées de l’Afrique, l’accent est mis sur le fait, qu’il ne faut pas représenter l’Afrique comme un sujet des politiques, et uniquement du point de vue européen.
Les intervenants
Alemayehu Kumsa : de la Faculté des sciences humaines de l’Université Charles ;
Linda Piknerová : de la Faculté des lettres de l’Université de Bohême occidentale à Pilsen ;
Tereza Němečková : du Département du commerce international de l’Université métropolitaine de Prague
Animé par : Linda Flanderová, de l’Institut des relations internationales.
Organisé par l’Agence tchèque du développement, en collaboration avec le festival Afrique en création ou Nous sommes tous africains, l’Institut français de Prague et l’Institut des relations internationales.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
www.tvurci-afrika.simplesite.com